FR
RU
EN
Centre d’exposition « L’univers de l’eau », Salle Congrès
Dans les conditions actuelles, il devient urgent d’unir les efforts des organisations internationales pour protéger les droits des citoyens du monde entier. Les associations internationales de femmes s’opposent fortement aux discriminations fondées sur des motifs linguistiques, nationaux, culturels, religieux ou autres. Dans leurs activités, elles utilisent à la fois des mécanismes juridiques et des éléments de « soft power » tels que le développement de la coopération humanitaire internationale, les échanges culturels et le soutien à l’entreprenariat chez les femmes. Quels outils les femmes peuvent-elles utiliser pour protéger les droits et les intérêts des citoyens ? Comment la coopération internationale y contribue-t-elle ? Comment l’expérience positive des différents pays en matière de protection des droits de l’homme peut-elle être développée ? Quel rôle les associations internationales de femmes jouent-elles dans la popularisation des réussites dans les domaines de la culture et de l’art nationaux ?
Modérateur: Elena Afanasyeva — Membre du Comité du Conseil de la Fédération pour les affaires étrangères, Coordinatrice de projets du Conseil du Forum féminin eurasien « Compatriotes russes à l'étranger », « Club des femmes parlementaires », Fédération de Russie (région d'Orenbourg) Intervenant: Natalia Krylova — Associé scientifique en chef, Institut d'études africaines, Académie russe des sciences, Fédération de Russie (Moscou);
Palais de Tauride, Salle de lecture
La réunion du W20 est l’une des principales rencontres du Forum féminin eurasien. Au fil de ses travaux, le W20 est devenu un instrument efficace d’interaction entre la communauté des femmes et les dirigeants mondiaux. Les initiatives proposées par les femmes, grâce au W20, deviennent des impulsions de transformation dans différents pays. Quelles sont les priorités du W20 en 2024-2025 ? Comment s’articulent-elles avec les objectifs des grandes organisations internationales telles que l’ONU, la Confédération des organisations de femmes de l’ASEAN et le Forum féminin eurasien ? Que peut offrir le W20 pour promouvoir plus activement les initiatives des femmes participant aux alliances pour l’intégration ? Comment leurs efforts peuvent-ils être consolidés pour renforcer le rôle de l’engagement international des femmes au niveau mondial ?
Modérateur: Viktoriya Panova — Sherpa de la Russie au sein du G20 des femmes (W20) ; coordinatrice du projet du Conseil du Forum féminin eurasien « Les femmes dans le dialogue des organisations et associations internationales » ; vice-rectrice de l'Université nationale de recherche « École des hautes études en sciences économiques », Fédération de Russie (Moscou) Intervenants: Graciela Nelida Adan — Membre du G20 des femmes (W20) de la République d'Argentine, Argentine; Narnia Bohler-Muller — Déléguée de la République d'Afrique du Sud, G20 des femmes (W20), République d'Afrique du Sud Satoko Kono — Membre de la délégation japonaise au G20 des femmes (W20), Japon; Svetlana Lukash — Cheffe adjointe du département des experts de l'Administration présidentielle de la Fédération de Russie ; sherpa de la Russie au sein du G20, Fédération de Russie (Moscou) Elena Myakotnikova — Membre de la délégation du G20 des femmes (W20) de la Fédération de Russie, coordinatrice du projet du Conseil du Forum féminin eurasien « Initiatives climatiques et régulation du carbone », Fédération de Russie (Moscou) Janaina Nolasko Gama — Coprésidentrice du G20 des femmes (W20) au Brésil, Brésil; Sandhya Purecha — Sherpa indienne au G20 des femmes (W20), République de l'Inde; Chiou See Anderson — Cheffe de la délégation australienne au G20 des femmes (W20), Australie; Gülden Türktan — Présidente fondatrice du G20 des femmes (W20), sherpa de la République de Turquie au sein du G20 des femmes (W20), Turquie Hadriani Uli Silalahi — Sherpa indonésienne au sein du G20 des femmes (W20), République d'Indonésie
Palais de Tauride, Salle de la Coupole
Palais de Tauride, salle n° 6
Le rôle des femmes s’accroît dans presque tous les domaines de l’économie et du droit. L’expansion des relations économiques et commerciales, la loyauté des partenaires et, en général, les résultats économiques de l’entreprise dépendent largement non seulement des qualifications et des compétences du juriste, mais aussi des qualités que l’on trouve souvent chez les femmes : créativité, capacité de négocier et de trouver des compromis. Comment la réglementation juridique de l’économie contribue-t-elle au développement économique ? Comment les femmes juristes jouent-elles un rôle dans l’harmonisation des approches juridiques dans la résolution de toutes les problématiques et comment cela a-t-il un effet sur le développement de la coopération ? Quelles sont les normes juridiques stratégiques pour la coopération internationale ? Quelles sont les pratiques existantes pour promouvoir le règlement pacifique des différends et améliorer la gestion d’entreprise ? Comment la formation juridique évolue-t-elle ? Quel rôle le mentorat joue-t-il pour la jeune génération de praticiens du droit ?
Modérateur: Elena Borisenko — Vice-Présidente du Conseil d'administration, « Gazprombank » (Société anonyme), Fédération de Russie (Moscou) Intervenants: Yulia Mullina — Directrice générale du Centre d'arbitrage russe de l'organisation autonome à but non lucratif « Institut russe d'arbitrage moderne », Centre d'études juridiques internationales et comparatives, Fédération de Russie (Moscou) Natalia Pavlova — Juge pour la Fédération de Russie, Cour de l'Union économique eurasienne, Fédération de Russie (Moscou) María Luisa Ramos Urzagaste — Ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire de l'État plurinational de Bolivie auprès de la Fédération de Russie, Bolivie Natalia Trétiak — Directrice générale de Prosveshchenie JSC, Fédération de Russie Teresa Cheng — Membre fondatrice et co-présidente de l'Académie asiatique de droit international, Chine
Au cours des dernières décennies, l’Occident dans son ensemble a tenté d’imposer ses règles et ses prétendues valeurs libérales au reste du monde. Aujourd’hui, cela se transforme en une dictature totalitaire flagrante, en particulier dans le domaine du genre. Les mères ne peuvent pas être appelées « mères», les pères sont emprisonnés pour avoir appelé leurs filles « filles », et les hommes biologiques sont autorisés à tabasser les femmes et à considérer cela comme un sport. Un tel radicalisme culturel, appliqué avec un fanatisme quasi religieux, ne reflète pas les opinions, les attitudes et les souhaits de la majorité de la population mondiale. Le rejet s’accroît même dans les pays occidentaux. De plus en plus de nations commencent à affirmer et à défendre leur souveraineté culturelle et sociale. Dans ce contexte, la Russie a une chance historique exceptionnelle d’enthousiasmer notre monde en mutation avec l’idée d’un traditionalisme sain. Comment exploiter cette chance ? Quelles sont les solutions qui peuvent être efficaces ?
Modérateur: Margarita Simonyan — Rédactrice en chef, chaîne de télévision RT et groupe de médias « Rossiya Segodnya », Fédération de Russie Intervenants: Maria Zakharova — Représentante officielle du ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie, Fédération de Russie Natalia Kotchanova — Présidente du Conseil républicain de l’Assemblée nationale de la République du Belarus, République du Belarus Binod Singh — Directeur de l'Institut des BRICS, République de l'Inde Véronika Skvortsova — Cheffe de l'Agence fédérale médicale et biologique (FMBA de Russie) Alexander Yakovenko — Recteur de l'Académie diplomatique du ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, Fédération de Russie